Quirigua Incontournable !

LES RUINES MAYAS DE QUIRIGUA

Se situe est situés a 205 km de Guatemala Cité, à la hauteur du village; Los Amates. Une petite route de terre vous emmène jusqu'au site maya. Si vous prenez le bus, descendez a un peu plus loin que le petit village de Los Amates (Km 203) au carrefour de la petite route de terre indiqué par une annonce du site archéologique. Vous aurez a traverser la plantation de banane Dole et Delmonte actuel propriétaire des lieux. Le parc est ouvert de 7h30 a 16:30 (Entrée: 25 Quetzales). Un musée est ressemant ouvert, et offre une bonne vision de l’histoire de cette cité mystérieuse. Une jeune fille est préposé a vous guidez gratuitement au musée, le pourboire est le bienvenue !.

Grâce à sa situation géographique PLAN DU SITE Quirigua permetait de contrôler la route du jade de la rivière Motagua et d'exploiter les gisements de jade et d'obsidienne, produits très demandés sur toute l'aire maya. Quirigua est l'un des grands centres de l'époque maya classique.

Le nom de Quirigua apparaît sur le titre de propriété d'un certain Juan Payés y Font en 1797. Redécouvert par les infatigables John Lloyd Stephens et Frederick Catherwood en 1840. Ce dernier proposa d’acheter Quirigua pour $50 us, l’offre fut refusé bien entendu. Monsieur Stephen a eu plus de chance avec le site Copan puisqu’il a acquis le site pour la somme de $50 us. Puis le site est visité par Maudlay qui réalisera l’île magnifiques, scénario démontrant un intérêt mondial pour « ces gigantesque» pierres sculptées par une civilisation inconnue ». Au début du XXème siècle, toute les plantations de bananes de la région appartient à la United Fruit. En l975 le gouvernement du Guatemala et l'Université de Pennsylvanie signent une convention permettant à cette dernière de fouiller le site et de restaurer les constructions. Aujourd’hui, la zone fait parti des propriétés de la compagnie productrice de fruits en conserve Del Monte

Les ruines principales se trouvent au milieu de l'unique bois tropical restant de cette vallée de 8 km de large aux terres si riches grâce aux abondantes pluies et aux crues régulières du Rio Motagua. D'ailleurs Quirigua veut dire le lieu où abonde le ravitaillement! En 1979, l'UNESCO déclarait le site Patrimoine de l'Humanité.

Les premiers occupants mayas de cette partie de la vallée y édifièrent leur village de l’autre de coté de la route, soit des petite construction en toit de chaume, puis près du chemin de fer ou la peuplade semble s’avoir établis, mais n’ont malheureusement laissé que très peux de traces. A cette époque, la peuplade était surtout des agriculteurs. vers l’an 550 ap. J.-C. Quirigua occupe ensuite une superficie de 30 ha que l’on retrouve sur le site actuel. Le site est composé d'une place centrale sur laquelle se trouve la plupart des stèles, d'un jeu de balle sur un de ses cotés et de l'Acropolis formé par les maisons de l’élite gouvernante, généralement des palais décorés de dessins polychromes. A cette époque, seulement les gouvernants et l’élite pouvaient atteindre cet endroit très bien gardé la garde du roi. L’entrée a la peuplade était près de la rive du Rio Moragua, puisque les gens voyageaient par pirogue. A cet endroit, un autel était désigné a recevoir les offrandes donnés par les visiteurs destiné a sa majesté, comme il était de mise a l’époque

Sur la place centrale, on a enregistré 41 structures dont la pierre utilisée provient de carrières situées sur la rive nord du Rio Motagua, à 5 km de la cité. Le transport de ces mastodontes a dû coûter plusieurs vies, si on se rappelle que les Mayas ne connaissaient ni la roue ni l'animal de charge. Une fois amenée sur son emplacement par des billes de bois, la pierre doit être levée par un ingénieux mécanisme de câbles, rampes de glissage et le soutient en revers de monticules de sables.

Quirigua ne compte que 2,000 habitants et devient rapidement une subordonnée de Copàn avec laquelle elle partage traditions, style d'architecture, monuments, rites et l’art de l’écriture. Selon un texte hiéroglyphique, la dynastie de Quirigua fut instaurée en l'an 426 sous l'autorité d'un représentant du premier Ahau de Copàn (Certain archéologue pensent qu’il peut s’agir de le fils de Yuak Kuk Mow le fondateur de Copan, membre exilé de la dynastie de Tikal). Apparemment, celui-ci voulut, en plus de pouvoir contrôler la route du jade, installer un avant-poste entre Copan et TikaI avec laquelle il avait d'étroits liens commerciaux et scientifiques. Pendant 400 ans, Quirigua ne fut qu'un petit comptoir commercial de perception de taxes de passages qui profitaient généreusement a Copan.

A cette époque, les principaux États Mayas d’importances que l’on pourrait dénommer [impérialiste] soit : Tikal, Calakmul, Bonapak et Palanque au Mexique, Copan au Honduras, etc, tous ces grandes cités vivaient un boum économique important. Il semble que tous cherchaient a obtenir des pouvoirs plus étendus, des terres fertiles, s'enrichire d'avantage avec le jade, l’obsidienne, le marmol, tous les matières premières a l’expansion économique de ces grandes cités états. Des mariages stratégiques entres des peuplades servaient également a l’expansion des pouvoirs et a l’obtention d’alliances militaires.

Quirigua un cité agricole jusqu’au moment était sans importance, devient tout a coup la cible des grands impérialistes. D’un point de vue politico-militaire, l’emplacement de la cité était alors le Golfe Persique d’aujourd’hui. La cité était au centre d’une importante mine de jade (Sierra de la Minas), mines d’obsidiennes, le marbre (marmol) et la chaux. De plus il faut ajouter les droits de passages des indigènes des Hautes Terres qui exportaient et importaient des marchandises a la cote des Caraïbes soit Mexique et Honduras.

En 736, le gouvernant de Calakmul envoie une mission diplomatique de reconnaissance à Quirigua. La mission fut de séduire le seigneur Ahau Kak Tiliw Chan Choat (Ciel-Deux-Jambes) dirigeant de Quirigua a l’époque afin de lui proposer des accords commerciaux et d’établir une relation officielle avec Calakmul.. Rappelons que Ciel-Deux-Jambes avait placé dirigeant de Quirigua par le gouvernant de Copan soit Diez-y-Ocho-Conejos (18 Lapins).

La proposition de Calakmul a fortement plus aux dirigeants de Quirigua et sentirent une bonne affaire d’acquérir l’indépendance politique et commerciale et devait donc couper ses liens avec Copan. Un fois libéré, Quirigua devenait le propriétaire de ses richesses. De plus, Calakmul était l’ennemi juré de la dynastie de TikaI ce qui, provoqua une guerre avec Copân. Le 23 avril 738 durant laquelle Kak Tiliw visita le roi 18-Lapin, seigneur de Copân, Kak Tiliw jeune et peux expérimenté en matière de guerre enleva par astuce 18 Lapins héros de guerre qui faisait la fierté de Copan. Six jours après sa capture, 18-Lapin étaient décapités au cours d'une cérémonie rituelle.

Kak Tiliw jeune et brave guerrier déclare enfin l'indépendance face à Copàn. Le roi fait embellir la ville et ériger de gigantesques stèles en mémoire à cet évènement. Copan déclare alors la guerre a Quirigua pendant plus de un an. Nous rappelons que Copan avait une population (23,000) bien supérieur a Quirigua (2,000), une stèle raconte que Quirigua a reçue la protection de Calakmul qui avait basé plusieurs hommes a Quirigua afin de dissuader Copan de toute attaque. Bon calcul puisque celui-ci n’a jamais oser porter d’attaque. Copan blessé dans son orgueil, mentionne sur une stèle que le roi 18-Lapin a succombé a ses blessures pendant le combat……n’ont pas oser dévoiler qu’il fut plutôt enlevé par un jeune guerrier inexpérimenté mais brave….

Un siècle plus tard, selon les glyphes, les temps deviennent plus durs pour tout le monde et les relations Copân-Quirigua s’améliorent nettement, au point qu'un Dignitaire de Copan vient participer aux festivités de Quirigua. Mais vers l'an 900, tant Copàn que Quirigua glissent inexorablement vers leur déclin. Vers 950, Quirigua est complètement abandonné, ses habitants laissant derrière eux de gigantesques stèles, merveilles d'écriture sculptée. La majorité des grands édifices et presque toutes les stèles furent édifiés entre 746 et 810 ap.J.-C.

Bien sur que les ruines de Quirigua sont moins impressionnantes que celles de Copân, mais tres riches en histoire, le site peut se visiter qu’en deux heures bien qu'il soit recommandé de prendre son temps pour bien examiner les stèles sous toutes les faces. Le caractère particulier du site réside essentiellement en ses magnifiques stèles, parmi les plus hautes de toute la civilisation maya, de même pour ëtre la plus grande place centrale. La cité était divisée en six secteurs principaux : le Temple 1 et ses annexes, la Grand place, la Place du Jeu de balle, l'Acropolis, le Groupe est et le Groupe sud. Les archéologues ont identifié plusieurs 45 sous-sites mais une vingtaine seulement ont pu être dégagés jusqu'à présent.

On entre sur le site par un chemin forestier qui mène vers le côté nord de la Grand place, le site est entièrement encerclé par un anneau végétal qui commence au pied même des talus et des murs des ruines. L'attention est immédiatement accaparée par les gigantesques stèles E de 11 metres de haut et F. Les stèles représentent les souverains locaux mais la qualité de la sculpture est bien inférieure aux joyaux de Copân. L'orgueil sans limite provoqué la victoire de l'Ahau Kak Tiliw (Quirgua) sur 18-Lapin (Copan) motiva la construction de cinq stèles relatant son exploit à l'échelle de cet orgueil ( A,C,D,E,F) Glyphe de la stele C

La stèle F, annonce le futur changement du cycle temporel appelé ¨baktùn¨ (cycle de 400 ans) le Jour 10.0.0.0.07 Ahau 18 Zip (L’an 725 mésure plus de 7 mètres. La stèle E mesure 10,6 m; c'est la plus haute du monde maya et pèse 60 tonnes! La dernière date « imprimée » sur la pierre est l'an 810 de notre ère inscrite sur le mur du Temple 1 à la place du temple.

Juste devant la stèle A, l'autel 2 montre la stèle zoomorphe a l'apparence d'une grenouille, relate la mort et la résurrection du gouvernant Kak Tiliw. Lorsque l'on se dirige vers le Jeu de Balle situé au sud de la place, on passe à côté de la stèle H qui porte la première date écrite dans la pierre de Quirigua, 9.16.0.0.0 soit l'an 751 de notre calendrier. Cette stèle reproduit l'étrange « dessin celtique » de la stèle J de Copan, mais 44 années plus tard ce qui confirme les échanges permanents entre les deux États. Un peu plus loin, la stèle K décrit Jade-Cielo, le dernier seigneur connu de Quirigua.

Le Jeu de balle est relativement petit mais entouré de monuments intéressants. Des autels zoomorphes P et O, représentant des tortues, des grenouilles ou des jaguars qui ont l'air prêt à sauter. présentent les mêmes chiffres en glyphes complets qu'à Copàn.

L'autel est en fait un grand rocher de 3 m de long sur 2 de haut magnifiquement sculpté, semble représenter un homme (certainement un des souverains de Quiriguà) émergeant de la bouche grande ouverte d'une gigantesque tortue.

L'Acropole révèle 4 époques de construction, couvrant une période allant du Vlème au IXème siècle. On rappel que les monument, temples ou pyramides sont construits l’une par dessus l’autres semblables a un oignon. La place et les gradins sont bien conservés. Les stèles sont protégées de la pluie et de l'humidité quasi permanente par des abris aux toits de chaume. La déforestation abusive de la région (phénomène malheureusement très courant au Guatemala) fait que les arbres environnants sont le dernier refuge de centaines d'oiseaux dont les fameux toucans à l'énorme bec multicolore, les perroquets Arras Amazonien, les kiskadees et le Motmot (Apparence au Quetzal)!

Origines de Quirigua

Vu tous les problèmes en rapport avec les origines de Quiriguá, nous pouvons seulement spéculer sur l'identité de l'individu qui a été enterré pendant la période où on a entamé la construction de Quiriguá.

L'importance des preuves épigraphiques de la période préclassique nous permet de conclure que Kak Tiliw était probablement un membre d'une dynastie plus petite locale qui était destinée à être usurpée et être suivie par une dynastie étrangère plus puissante. 200 années ensuite. L'archéologue Kelley (1962) a suggéré que Quiriguá, dans ce qui est classique tardif, a été régi par une seule "dynastie" appelée "dynastie du ciel".

PLAN DU SITE

Toutefois, les preuves archéologiques, par exemple, le manque d'affinités céramiques, n'excluent pas la possibilité que "la dynastie du ciel¨ diminuait d'ancêtres locaux représentés probablement par l'individu trouvé dans la phase 4 de la construction simple dans l'Acropolis. Nous devons remarquer que l'association la plus précoce que le CAAN glyphe avec une dynastie de Dirigeants se produit en Tikal pendant la période classique précoce. Il est aussi associé avec la dynastie Kak Tiliw ce qui a été interprété comme preuves d'une relation de parenté entre les dirigeants de Quiriguá et copan. La présence précoce du nom de la "dynastie du ciel" en Tikal est intéressante, puisqu'elle pourrait indiquer que les origines des familles de dirigeants de Quiligua et Kak Tiliw étaient de Tikal. Est-ce que le fondateur de Copan aurait laissé des progénitures a Quirigua lors de son passages ?.

ANCIENNE FONCTION et RÈGLEMENTS

Un résumé de l'information que nous avons sur leur fonction nous fournit une indication de la variété d'activités associées avec Quiriguá dans la période classique. La classification d'emplacements périphériques, basée en taille et manière, peut aussi être significative quant aux distinctions fonctionnelles. Les gradients de richesse et statut se reflètent probablement par les différences dans la taille et l'élaboration des structures résidentielles. La distinction habituelle entre des structures résidentielles élites et non- élites peut être faite en se basant si la construction est de pierre ou d'adobe. Les grandes structures de pierre de l'Acropolis sont principalement considérées résidentielles parce qu'elles ont des places multiples et ont fréquemment des banques, baies vitrées et barres pour accrocher des rideaux tissés.


L'ACRÓPOLIS

l'Acrópolis a été utilisée pour effectuer une variété de fonctions, mais son utilisation principale était celui de complexe résidentiel et administratif pour l'élite dirigeant. On y accède par de grandes marches difficiles a escalader qui inévitablement devons regarder ou placer les pieds, sans doute pour éviter de regarder dans les yeux des gouvernants.

Le Projet de Quirigua a terminé des excavations qui ont enregistré une séquence de 300 années de construction et d'occupation, depuis la période classique moyenne jusqu'au terminal (ca 550-850 A C). La reconnaissance des différences en maçonnerie pendant ce temps, avec l'identification de ses origines, indique une tendance claire vers l'utilisation de sources de matériaux de construction chaque fois plus éloignés. La construction la plus précoce consiste en des sédiments rivière et cailloux provenant de la Rivière proche Motagua suivie par l'utilisation de blocs coupés de rhyolite (qui servait aussi a fabrquer des autels), donc par pierre sablonneuse, et finalement le marbre. Cette tendance paraît refléter une expansion du pouvoir politique et économique des dirigeants de Quiriguá, au fur et à mesure qu'ils obtenaient accès et contrôle sur les sources plus éloignées de matériels de construction, ainsi que sur une force de travail chaque fois plus grande. Ces différences, combinées avec des distinctions additionnelles en technique de construction, ont défini une séquence de 4 phases de construction dans l'Acropolis.

FASE 4
L'activité la plus précoce est représentée par la Phase 4, qui correspond à 550-720A.C. Cette phase est standardisée par la construction en utilisant des sédiments rivière et remplissage de cailloux, avec des façades élaborées avec de grandes pierres de la rivière. l'Acropolis, dans cette période formative de son développement, a constitué 3 petites structures orientées vers une place centrale. Ainsi, elle s'est probablement rassemblé aux groupes dans des manières quadrangulaires située dans la périphérie de Quirigua. On a découvert un enterrement associé avec la phase 4, lequel représente une personne élite.

FASES 3
La phase 3 de la construction de l'Acropolis, date approximativement de 720-740 A C.et inclut un changement significatif dans l'architecture, les façades structures et plates-formes ont été construites de blocs de pierre bien faits, principalement de rhyolite. Pendant cette phase on a construit un grand terrain de jeu de balle orientée Nord-sud, dans le côté ouest de la place de l'Acropolis. En outre, le bâtiment le plus précoce (phase 4) dans le côté sud de la place a été reconstruite dans un nouveau bâtiment avec beaucoup de places dans le coin sud-ouest.

FASE 2
La phase 2 (740-810 A C.), représente la phase de construction la plus ambitieuse de Quiriguá. On a introduit la maçonnerie de pierre sablonneuse, mais continuait l'utilisation de rhyolite. On a reconstruit tout le côté ouest de l'Acropolis, en laissant enterré le terrain de jeu de balle de la phase sous une grande plate-forme dans des terrasses. La construction d'un nouveau terrain de jeu de balle (Estr.1B-7), au nord de l'Acropolis s'est probablement produite immédiatement après la structure qui était enterrée pendant cette période, apparentement, les deux structures qui étaient orientées vers le nord et d'une seule place qu'il surveillait vers le nouveau terrain de jeu de balle ils ont aussi appartenu à cette période.

La nouvelle grande plate-forme à l'ouest de l'Acrópolis a porté une paroi (Estr. 1B-Sub.1) avec une décoration compliquée, y compris une série de 3 masques qu'ils représentaient au dieu "Kinich Ahau" (le dieu du soleil de ce qui est Mayas). On croit que cette structure, avec ses hautes plates-formes, restreignait l'accès à l'Acropolis. On examine le fait que cette restriction d'entrée était probablement pour des raisons de défense militaire, probablement en réponse à la menace d'une contre-attaque de Copan qui n'est jamais arrivée. Plus tard, dans la phase 2, on a construit deux bâtiments avec beaucoup de places.

FASE 1
La dernière phase de construction, 810-850 A C, inclut l'utilisation de blocs monumentaux de pierre sablonneuse, rhyolite et un nouveau matériel le marbre que l’on peut toujours apercevoir sur les gradins. La phase 1 commence avec la reconstruction des côtés nord et sud de la place de l'Acropolis Dans le nord, Structure : 1 B- 5, le bâtiment plus grand en Quiriguá, a été construite avec du marbre et de rhyolite. Cette structure brochet parfois une décoration élaborée avec stuc, laquelle a été détachée complètement. Dans le sud, la Structure : 1 B- 1 a été construite avec de la pierre sablonneuse. Une nouvelle grande plate-forme, avec un escalier monumental de pierre sablonneuse, donnait accès à l'Acropolis depuis le nord et a enterré les deux bâtiments d'une place qu'ils surveillaient vers au terrain de jeu de balle.

Un autre escalier monumental donnait accès à la Structure : 1B-1 depuis la place intérieure de l'Acropolis. Petites plates-formes secondaires, comme la Structure : 1 B-19 en avant de l'escalier de la Structure : 1B-1, et additions secondaires aux places, représentent la dernière construction connue dans l'Acropolis.

LA GRAN PLAZA

Dehors de l'Acropolis, la séquence de construction et l'occupation est relativement brève et plus compliquée. Les preuves les plus précoces de construction se produisent immédiatement au nord, et elle est associée avec la phase 2 de l'Acropolis. Une surface simple, faite avec des cailloux, donnait accès aux sillages les plus précoces que Quiriguá encore dans ses lieux originaux (des Monuments 8 et 10, ou Sillages H et J) et représentent l'origine de la Grande Place. Dans la partie postérieure de construction de phase 2, cette place a été agrandie étant donné construction d'un grand argent forme avec remplissage de cailloux. Cette plate-forme de la place a été utilisée pour loger sept des monuments plus grands de Quirigua (Mons 1-7).

Une série de sept plates-formes plus petites pour bâtiments ont été probablement construites pendant de ce temps. Deux de celle-ci ont été excavées et indique que toutes ont pu avoir servi comme bases pour bâtiments construits d'adobe.

Les gouvernants de Quirigua

GOB.1: Kak Tiliw
GOB.2: Cielo xul
GOB.3: Imix-Perro
GOB.4: Voluta Cielo
GOB.5: Jade Cielo

Kak Tiliw plus de six ans de règnes
On ne connaît pas beaucoup sur les origines de Kak Tiliw. On pense qu’il soit monté au trône de Quiriguá peu avant 730 A.C, événement qui est fréquemment commémoré dans ses monuments. Une interprétation le voit comme le fils ou neveu du dirigeant de Copan toutefois, il n'y a pas beaucoup de preuves qui approuvent cette hypothèse. Une autre possibilité est qu'elle pourrait avoir été le successeur d'une longue ligne de princes locaux plus petits. D'autre part, Pusilha ou un autre emplacement dans le secteur de Petén-Belize était probablement le chef d'un groupe de colonisateurs du nord, par exemple. Les preuves, en réalité, sont insuffisantes pour arriver à une conclusion quant à son lieu de naissance et à l'origine de la "Dynastie du Ciel".

Après environ 13 années de règne relativement tranquille et sombre, apparemment marqué par une seule petite sculpture avec un texte hiéroglyphe (Mon. 13), événement qui a signifié un point crucial dans le règne de Kak Tiliw et dans l'histoire de Quiriguá.

Il est clair que suite à la victoire de Kak Tiliw, Quiriguá devient un centre totalement indépendant. Libéré de leurs liens avec Copan Quiriguá paraît avoir gagné le contrôle unique sur la route commerciale de la Vallée de la Rivière Motagua qui reliait aux hautes terres Mayas avec la côte caribéenne. Ainsi, le pouvoir économique et politique traditionnel dans le secteur sud-ouest de ce qui est Mayas, Quirigua pourrait être profité dans sa position géographique de la route du jade. Par conséquent, Copan a probablement acquis un rival qui usurpait chaque fois plus sa position économique et son pouvoir.

De ce pouvoir il se tient à un programme ambitieux de construction qui au cours de quelques années, a transformé le complexe relativement petit de résidences cérémonielles de Quiriguá en un centre administratif important. Ce grand projet de construction reflète non seulement une meilleure capacité pour contrôler de grandes forces de travailleurs, mais aussi l'accroissement de sa suprématie sur la vallée du Motagua de sorte qu'on utilise une source de matériels de construction différente et plus en plus éloigné.

Sources :
Ricardo Camacho ; Université San Carlos - Robert J Sharer.; Université de Pennsylvanie - Lonely Planet.

AVENTURES TROPICALES S.A (Dépot légal)

Guatemala Ciudad
GUATEMALA, CA

 

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